Accompagner des besoins qui évoluent
Jean-Pierre Tual, concessionnaire Schmidt à Vitré, nous fait part de son expérience du temps partagé qui a su répondre à ses besoins évolutifs.
A quel moment avez-vous jugé intéressant d’embaucher un salarié à temps partagé?
Déjà propriétaire d’un magasin Schmidt à Laval, j’ai repris en 2010 le magasin de Vitré qui réalisait alors un petit chiffre d’affaire avec une équipe de deux personnes. Ma comptable de l’époque consacrait une journée par semaine à mon magasin de Vitré, ce qui suffisait bien.
En 2013, Vitré progressant fort, je décide de vendre le magasin de Laval, perdant en même temps ma comptable. Et là… un grand moment de solitude ! Embaucher un vendeur à plein temps, ça, je sais faire, c’est mon métier ! Mais embaucher une comptable pour quelques heures par semaines n’était plus du tout dans mes cordes. Comment juger de ses qualités, comment être sûr de ne pas voir partir l’heureuse élue à la première offre d’emploi à plein temps ?
Vous avez alors pensé à Helys ?
Oui. Il m’est revenu en mémoire un article que j’avais lu dans Ouest France et qui traitait d’emplois à temps partagé. N’ayant plus aucune coordonnée je me tourne vers la CCI qui me relaye à Hélys.
A la première rencontre avec Caroline THIEFFRY, je suis séduit par le professionnalisme de mon interlocutrice qui dresse un cahier des charges précis afin de pouvoir répondre à mes besoins. Je comprends tout de suite l’intérêt que représente un groupement d’employeurs pour une entreprise comme la mienne. Caroline me présente quelques jours plus tard Nathalie, salariée d’Helys partagée entre deux employeurs déjà. Nous signons donc un contrat pour une journée par semaine.
Et vos besoins on évolués…
En effet puisque le temps passe et le chiffre d’affaire du magasin s’envole. Nous passons à trois, quatre, puis cinq vendeurs. Et le temps de travail en comptabilité augmente en fonction des besoins de l’entreprise. Fin 2017, Nathalie est déjà à mi-temps. Quand je lui parle de mon projet d’ouverture d’un nouveau magasin et de mon souhait de l’embaucher à plein temps, elle semble ravie. Nous avons eu largement le temps de nous connaitre et de nous apprécier durant ces quatre années.
Et votre lien avec Helys ?
Chez Helys, pas de problème. On perd une salariée mais on garde le sourire : c’est ce qu’on appelle le Turn-over positif. Et, pour ma part, même si aujourd’hui je n’ai plus de collaborateurs en temps partagé, je reste bien sûr adhérent, pour ne pas dire MILITANT !
Merci à toute l’équipe HELYS